Les actualités

 Dramare Nostrum croise de multiples ingrédients :  théâtre, études anglophones, sculpture et recherche angliciste. Le spectacle sera joué en anglais par un groupe d’étudiants de M1 lors d’un colloque sur les britanniques en Méditerranée au XVIIIe siècle. Grâce à un financement Miranda, Storm et Kossa, deux artistes associés au CID y interviennent. Le spectacle évoquera, au sein du musée des moulages, le parcours de trois femmes anglaises du XVIIIe siècle, Lady Mary Montagu, Hester Piozzi et Emma Hamilton, qui se sont toutes aventurées en Méditerranée. »

Porteurs: Sophie Vasset et Jean Vivier

Rencontre avec Storm, mercredi 12 mars 2025, lors d'une répétition au Musée des Moulages et sur la pelouse du campus Route de Mende

Marion Storm, une chorégraphe entre New York et Montpellier, portée par Miranda

Installée à Montpellier, la chorégraphe Storm apporte une vision singulière à la danse contemporaine. Avec un passé ancré dans les pratiques new-yorkaises et une philosophie inspirée du Judson Church, elle explore sans cesse les conditions d'apparition du mouvement. Rencontre avec une artiste qui questionne autant la danse que la manière dont elle prend forme.

D’entrée de jeu, Storm exprime son enthousiasme pour le projet porté par Miranda. Travailler avec un groupe dans sa langue maternelle est pour elle un véritable soulagement. « C'est un relâche et une source de confort », explique-t-elle, habituée à enseigner en français. Mais au-delà de la langue, c'est l'acte même de création avec les étudiants qui la passionne. Elle observe avec admiration leur capacité à s'engager physiquement, à explorer la question de l'incarnation du mouvement malgré une langue parfois peu familière.

Miranda, un soutien essentiel à la création

Le programme Miranda représente pour Storm bien plus qu'un simple financement : il est un moteur fondamental pour la recherche et l’expérimentation artistiques. « C'est un vrai rêve d'avoir ce soutien », admet-elle, consciente des difficultés économiques rencontrées par les artistes à Montpellier. Pour elle, la recherche est indissociable de la création et doit être considérée comme une part essentielle du processus artistique.

Dans un contexte où le financement des arts est souvent un combat, elle exprime sa gratitude en des termes forts : « Miranda permet aux artistes de s’affranchir des contraintes financières pour se consacrer pleinement à leur démarche artistique. Ce dispositif, c’est en même temps nécessaire et précieux. La création, la production, la diffusion, l’invitation, la répétition, la performance elle-même… tout est recherche, et ça Miranda l’a compris. »

Explorer les frontières de la danse

Pour Storm, la danse n'est pas seulement une affaire de gestes et de techniques, mais plutôt une expérience commune, une exploration collective. « Je crois vraiment en mon métier, parce qu'il offre une multitude d'outils : la chorégraphie, la composition, l'écriture… Il y a tant de choses à tester ensemble », confie-t-elle. Son approche repose sur une remise en question constante des codes traditionnels et une volonté de comprendre le corps dans son contexte présent.

Inspirée par le mouvement post-moderne américain et notamment par le Judson Church de New York, elle s'interroge sur la manière dont la danse peut être perçue et reçue. « Quelles sont les conditions d'apparition d'une danse ? Quel est l'accueil ? Le corps du public ? L'environnement ? La durée ? » Autant de questions qui nourrissent sa recherche et structurent son enseignement.

Réinventer la danse

Avec une énergie contagieuse, Storm revendique une approche radicale de la danse. « Troubler toutes les suppositions, c'est aussi un geste politique », affirme-t-elle. Dans ses ateliers comme dans ses spectacles, elle invite les danseurs à dépasser leurs habitudes et à explorer de nouvelles formes d'expression.

Investie dans la transmission, elle enseigne également à l'ENSAD et salue l'opportunité de travailler avec les jeunes générations. Pour elle, c'est un « privilège » que de participer à leur cheminement artistique.

Grâce à Miranda, Storm poursuit sa quête d'un art en perpétuel mouvement. Une démarche où la danse ne se limite pas à l'exécution de pas, mais devient un espace de réflexion et d'expérimentation, toujours en évolution.

Musée des Moulages - Instagram @museedesmoulages 

Claire Musiol promène sa plume entre les genres littéraires, explorant les frontières entre roman, poésie, nouvelle et théâtre. Autrice de cinq livres publiés, elle multiplie aussi les parutions en recueils collectifs et revues littéraires. Certains de ses textes ont été distingués, comme sa pièce Marianne, sélectionnée pour le Festival Texte en Cours, ou ses poèmes mis à l'honneur par la Maison de la Poésie Jean Joubert de Montpellier dans le cadre de "Nouvelles Voix d'ici".

Mais son écriture ne se limite pas aux pages imprimées. Depuis huit ans, elle mène des performances d'écriture interactives, où elle compose des textes en direct à partir de mots donnés par le public. Ces dispositifs transforment l’écriture en un moment de partage et d’expérimentation, mettant en lumière le processus créatif dans sa dimension spontanée et vivante.

Aujourd’hui doctorante, Claire Musiol inscrit sa recherche dans le projet Miranda, qui soutient l’ouverture de l’université sur la cité et les industries culturelles et créatives (ICC). Ce cadre lui permet d’explorer en profondeur l’écriture hors du livre, de développer de nouveaux dispositifs et scénarios d’écriture interactive et d’interroger l’impact de ces pratiques sur la société contemporaine.

Une thèse en recherche-création au cœur de l’écriture performative

Sa thèse, menée sous la direction de la professeure Marie Joqueviel-Bourjea au sein du laboratoire RIRRA21, s’intitule :

« Pratiques littéraires performatives : vers une écriture-performance interactive »

Deux interrogations centrales l’animent : comment l’acte d’écrire peut-il être partagé dans un monde où les formes de la littérature évoluent ? Comment croiser écriture et performance autrement que par la lecture mise en scène ?

Elle développe l’hypothèse d’une « écriture exposée », qui offrirait au public une expérience inédite : celle d’être public-spectateur-acteur, impliqué dans une relation renouvelée à la littérature. Dans ce cadre, elle conçoit de nouvelles performances d’écriture interactives, où l’écriture devient un acte créatif partagé.

Le volet créatif de la thèse consistera en la réalisation de nouveaux scénarios de performances, engageant divers publics. D’un point de vue scientifique, cette recherche vise également à combler un manque : à ce jour, l’écriture performée n’a fait l’objet d’aucune étude d’ampleur.

Une autrice engagée pour la transmission

Convaincue que la littérature se nourrit du collectif, Claire Musiol anime depuis dix ans des ateliers d’écriture, intervient en universités et écoles, et organise des soirées littéraires. Elle propose également des formations à l’écriture pour des entreprises. Co-créatrice du Festival Écrire en Mouvement, qui tisse un lien entre écriture et espace urbain, elle a aussi siégé au conseil d’administration de la Maison de la Poésie Jean Joubert de Montpellier (2019-2024).

Avec sa démarche à la croisée de la création, de la transmission et de la recherche, Claire Musiol redéfinit les contours de l’acte d’écrire et explore sans cesse de nouvelles manières de faire exister la littérature, dans et hors du livre.

Pour découvrir ses ateliers d'écriture : www.lalucioleecritures.fr
Suivez son actualité sur Facebook (clairemusiol.auteur) et Instagram (@clairemusiol_auteure).

Clément Féménias, architecte diplômé, est doctorant en architecture à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier (ENSAM) spécialisé en histoire et conservation du patrimoine architectural contemporain.

Ses recherches ont été initiées par un mémoire de master ayant profité du programme Erasmus+ par un an en Lituanie en abordant le thème de la conservation et de la définition du patrimoine architectural de Vilnius sur le XXe siècle. En Juin 2024, son projet de fin d’étude de master porta sur la réhabilitation du Palais des Sports des Arts et du Travail de Narbonne et fut un initiateur de son projet de thèse de doctorat.

Sous contrat doctoral Miranda, il effectue ses recherches au sein du LIFAM (Laboratoire Innovation Formes Architectures Milieux) rattaché à l’ED 60.

 Sa thèse intitulée « Palais civils en béton armé & mixité fonctionnelle (1880-1940) – Histoire et enjeux de réhabilitation d’un patrimoine monumental silencieux de la IIIe République » porte sur les enjeux de conservation de ces édifices en béton armé par l’analyse du matériau béton et celle de l’architecture et de ses potentialités de réusage par la “recherche-création”.

C’est quoi le projet Cart.Occ ?

Le projet Cart.Occ est un projet d’établissement, intégrateur de l’ensemble d’équipes et laboratoires de recherche de l’Université de Montpellier Paul-Valéry. Il cherche à mettre en valeur des recherches développées au sein de l’Université concernant le patrimoine immatériel et matériel d’Occitanie-Est. Cette mise en valeur a été réalisée par l’usage des récits associé à la cartographie dynamique de type StoryMaps.

Ce projet a trois objectifs :

  1. Utiliser la cartographie narrative pour diffuser de façon accessible au grand public les recherches développées au sein de l’Université Paul Valéry Montpellier 3.
  2. Mettre en valeur le patrimoine bâti et paysager du territoire Occitan.
  3. Faire interagir et collaborer les différents équipes de recherche de l’Université

Un projet innovant pour valoriser le patrimoine culturel d'Occitanie

Cart.Occ est piloté par le Laboratoire de Géographie et d’Aménagement de Montpellier (LAGAM) de l’Université de Montpellier Paul-Valéry  (UMPV), vise à dynamiser l'accès au patrimoine culturel de la région Occitanie grâce à une web-cartographie enrichie. Co-financé par le Rectorat de l’Académie de Montpellier, ce projet de 17 mois, se terminant en mars 2024, ambitionne d'offrir une exploration interactive et multi-temporelle du patrimoine matériel et immatériel de la région.

Cart.Occ se distingue par son approche pluridisciplinaire, impliquant divers laboratoires de recherche tels que le LERASS-CERIC, l’UMR ASM, l’UMR SENS, CRISES, ReSO, et le LAGAM. Le projet bénéficie également du soutien du Studio Web-TV et du CREMAD, ainsi que des services communs de l’UMPV. Parmi ses objectifs, Cart.Occ propose un inventaire géolocalisé du patrimoine régional, un diagnostic de l'offre culturelle et une mise à disposition de ressources patrimoniales via une plateforme web.

Ce projet s'inscrit dans la priorité régionale pour un territoire équitable et riche en patrimoine, et s'articule avec le projet Miranda, qui explore l'art et le patrimoine à l'ère numérique. Les résultats préliminaires de Cart.Occ incluent une série de StoryMaps, utilisant l'application ArcGIS de ESRI®, pour intégrer des contenus dynamiques et narratifs. Ces productions témoignent de l'efficacité de la web-cartographie pour valoriser et diffuser le patrimoine culturel régional.

Au cours des 17 mois, Cart.Occ a mobilisé cinq équipes de recherche, cinq doctorants, une post-doctorante et deux groupes d’étudiants du Master 2 en Gestion des Catastrophes et des Risques Naturels (GCRN) de l'UMPV. Douze StoryMaps ont été créées, abordant divers aspects du patrimoine régional, tels que les rapports entre société et espace géographique, les mémoires d'inondations et de feux de forêt, la mise en scène du territoire par les séries télévisées, et la découverte des temples protestants d’Occitanie-Est. Ces projets illustrent la richesse et la diversité du patrimoine culturel d'Occitanie et la capacité de Cart.Occ à le mettre en valeur de manière innovante.

 Un grand merci à tous les organisateurs et participants qui ont contribué à faire de cet après-midi un moment précieux et joyeux d'échanges, de chemins croisés et de partages autour des questions des sciences participatives, de l'expérimentation et de la recherche-création.
Co-construire est l'un des axes principaux de Miranda et nous avons honoré cette dimension ensemble ce vendredi 10 janvier.

Merci à toute l'équipe de la MSH SUD, Olivier Tinland, Lionel Brunel, Centre de recherche sur les innovations sociales - CRISES, François Bousquet, Anaïs Frèrejean, Pierre-Olivier Gaumin, Jean-baptiste Sauret, le dispositif Locustream, le réseau Particip'Arc, la compagnie Magma et ses comédien.ne.s pour leur performance de Playbac théâtre, ainsi que tous les participants présents lors de cette journée.

Retrouvez toutes les photos sur notre page LinkedI

En décembre 2024, l'Université de Montpellier Paul-Valéry a signé un accord de coopération (Memorandum of Understanding) avec FilmEU - European Alliance for Film and Media Arts, en lien étroit avec le consortium Miranda.

Déjà partenaire associé de cette alliance européenne d'universités spécialisée dans le film, l’audiovisuel et les arts numériques, l’UMPV consolide ainsi son engagement dans ce réseau et contribue entre autres, à la diffusion au niveau européen des activités de Miranda.

Cet accord permettra aux membres de la communauté universitaire de collaborer avec celles des établissements partenaires de FilmEU pour le développement de projets de recherche communs, l'enrichissement de l'offre de formation initiale et continue et l'accès aux ressources numériques partagées. À terme, cette coopération bénéficiera aussi aux autres partenaires de Miranda.

En savoir plus sur le site de FilmEU 

Les membres du comité se sont réunis le 19 décembre 2024 et ont décidé collectivement de soutenir 11 projets pour un montant total d'aide accordée s'élevant à 95 341 €.
Le comité de sélection des appels SRC est constitué par les membres du comité de pilotage :
- Co-direction scientifique
- 6 responsables des pôles
- 1 représentant de la MSH-Sud
- 1 représentant de chaque partenaire (ENSAM, MO.CO-Esba, ENSAD, ICI-CCN, Inrap, CNRS)
- Vice-Présidentes de l’UPVM

Voici la liste des lauréats :
> Auger Nathalie, "CARTES - Cartographies Artistiques et Résonances Territoriales pour l’Éducation Langagière" (UPVM/LHUMAIN)
> Brunel Lionel, "IP3C - Immersion, passé, patrimoine, parfum et cognition" (UPVM/Epsylon)
> Cot Guillaume, "Dramaturgie de l’écologie, de l’écoute et de la perception- DEEP" (UPVM/RIRRA21)
> Daanoune Karim, McMahon Fiona et Robert-Foley Lily, "Poetry Talks" (UPVM/EMMA)
> Gailledrat Eric, "CALIMEDA- Cuisine et Alimentation en contexte Méditerranéen Antique" (CNRS/ASM)
> Guedj Muriel et Blanvillain Caroline, "MEDIARTSCI- Médiation artistique et scientifique" (UPVM/LIRDEF et UM)
> Marty Frédéric, "CSI - La coproduction sérielle à l’échelle internationale : marchés, festivals, plateformes" (UPVM/LERASS)
> Meliani Valérie, "QualiXsigne" (UPVM/LERASS)
> Therville Clara, "NaatalMaGéej" (UPVM/SENS)
> Trias Jean-Philippe, "VADéC- Valorisation des Archives de Décors de Cinéma par le numérique" (UPVM/RIRRA21)
> Vasset Sophie et Vivier Jean, "DraMareNostrum" (UPVM/IRCL et CNRS)

Miranda se réjouit de ces projets à suivre en 2025 et félicite tous les lauréats.
L’appel en bref
Pour faire quoi ?
Des opérations de recherche scientifique, des opérations de création artistique ou culturelle, des opérations de recherche-création :consolidation, diffusion et valorisation de résultats ; préparation de nouveaux projets.


Pour qui ?
Porté a minima par un membre d’une unité de recherche de l’UMPV ou d’un établissement partenaire du programme Miranda en collaboration, le cas échéant, avec d’autres acteurs.


A déposer quand et comment ?
Au plus tard le 4 novembre 2024 à 12h (midi).

En utilisant le formulaire de dépôt de projet disponible sur la page de l’appel à projets. 

Pour toute question écrire à aap.miranda@univ-montp3.fr.

Les "Moments" Miranda reviennent dès la rentrée afin de poursuivre l'interconnaissance des structures partenaires, encourager les collaborations, échanger et travailler sur les objets au cœur du projet : la notion de recherche-création, le dialogue arts-science-société, les enjeux relatifs à la double transition écologique et numérique, la collaboration avec les industries culturelles et créatives, le développement de partenariats européens et internationaux…

3 socles déterminent les "Moments" : l'interconnaissance, la co-construction et la promotion du projet.

Miranda donne donc rendez-vous à ses partenaires et ses acteurs dès le vendredi 4 octobre à 15h au Moco Esba pour le Moment de la reprise, puis le 6 novembre à 18h au Théâtre de La Vignette (Pôle 2 Créations artistiques et culturelles) et le 25 novembre à 14h30 sur le Site Archéologique Lattara Musée Henri Prades (Pôle 1 Sciences du passé et du patrimoine).

La 9e édition des Rencontres scientifiques Montpellier-Sherbrooke se déroulera du 19 au 21 juin 2024 à l'Université de Sherbrooke.
Pour cette occasion, 5 représentants de Miranda sont sur place :
- Réjane Roure (Professeure d'archéologie, Directrice du laboratoire ASM, Directrice scientifique du Programme Miranda) ;
- Chloé Delaporte (Professeure en études cinématographiques et audiovisuelles, chercheuse affiliée au laboratoire de recherche RIRRA21, Co-responsable du pôle thématique 2 de Miranda "créations culturelles et artistiques") ;
- Pierre-Yves Kirschleger (Maître de conférences HDR d’histoire contemporain, cherceur affilié au laboratoire CRISES, Co-responsable du pôle thématique 1 de Miranda "Sciences du passé et du patrimoine") ;
- Christophe Chandezon (Professeur d’histoire grecque, chercheur affilié au laboratoire ASM - Archéologie des sociétés Méditerranéennes) ;
- Marie Blaise (Professeur de Littératures comparées, Directrice du laboratoire CRISES).
Le troisième Moment Miranda aura lieu jeudi 13 juin 2024 à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier (à la Maison Louis Jouvet).

Ce rendez-vous débutera par une présentation de l’école par Gildas Milin qui en assure la direction depuis 2014. Cette présentation sera l’occasion de mettre l’accent sur les spécicités et singularités de l’Ensad Montpellier et d'évoquer les perspectives du moment. Dans un deuxième temps, Gildas Milin, également auteur et metteur en scène, parlera de la création en cours ARCHE, qui sera jouée dans le cadre du printemps des Comédiens en juin prochain.

Pour ce deuxième Moment Miranda, une rencontre était organisée le 17 mai de 14h30 à 16h30 à ICI—CCN en présence de Christian Rizzo - directeur, de l’équipe d’ICI—CCN et d’Alix de Morant - co-responsable du Master Exerce.

En amont et en aval de cette rencontre, la présentation de la recherche des étudiant·es-artistes-chercheur·euses du Master Exerce est organisée via les Publications M1 et M2.

Le projet a été présenté officiellement par la Présidente Anne Fraïsse et par l'équipe Miranda. Certains partenaires ont présenté ensuite des projets en cours s'inscrivant dans les dynamiques de recherche-création qui sont au cœur du projet Miranda. L’après-midi s'est clôturé par un cocktail apéritif.

Visionnez la vidéo de l'évènement ici

L'article sur l'événement de lancement disponible ici

Téléchargez l'invitation au lancement du projet

Téléchargez la présentation du projet

2024-04-26_presentation_du_projet.pdf

Dans le cadre du projet Miranda, les Moments sont pensés pour favoriser l'interconnaissance des structures partenaires, encourager les collaborations, échanger et travailler sur les objets au cœur du projet : la notion de recherche-création, le dialogue arts-science-société, les enjeux relatifs à la double transition écologique et numérique, la collaboration avec les industries culturelles et créatives, le développement de partenariats européens et internationaux…

Ce premier Moment a réuni 56 participants pour la présentation de Miranda suivi de celle de l’Inrap, organisme majeur dans le domaine de l'archéologie préventive, et son projet européen NEARCH.

Télécharger les présentations du 1er Moment Miranda 

Dernière mise à jour : 09/04/2025